Les PFAS, ou substances per- et poly-fluoroalkylées, sont partout : dans nos poêles antiadhésives, nos vêtements imperméables, nos emballages alimentaires, et même dans l’eau que nous buvons. Surnommés "polluants éternels" en raison de leur persistance dans l’environnement, ces composés chimiques représentent un défi majeur pour la santé publique et la préservation des écosystèmes.
Pour y faire face, Egis finance une thèse innovante sur le phytomanagement des PFAS, une méthode prometteuse pour dépolluer les sols contaminés. Porté par Audrey Vauloup, ce projet de recherche s’appuie sur l’expertise de deux laboratoires renommés : le LIEC (Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux - Université de Lorraine/CNRS) et EPOC (Environnements et Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux – Université de Bordeaux/CNRS). Décryptage d’une initiative qui allie science et responsabilité environnementale.