Et cela tombe bien car, en 2025, nous disposons de toutes les solutions pour bâtir des villes résilientes et inclusives : infrastructures adaptées aux chocs climatiques, aménagements inclusifs, solutions fondées sur la nature et la biodiversité, mobilités connectées, espaces publics pensés pour rassembler. Il faut donc agir car, aujourd’hui, tout est (encore) possible. Mais pour y parvenir, il est essentiel d’éclairer les choix actuels des citoyens, dans un débat public informé et exigeant. C’est la raison pour laquelle, nous pensons aujourd’hui que les ingénieurs doivent s’engager davantage dans le débat public. Pourquoi ? :
- Parce qu’ils sont le relais entre science et action concrète
- Parce qu’ils savent éclairer la décision publique avec des données fiables, partagées, compréhensibles
- Parce qu’ils peuvent contribuer à inventer de nouveaux modèles urbains alliant innovation et héritage
Cette transition ne se fera qu’ensemble. Elle suppose de décloisonner les expertises, renforcer les le travail commun et accompagner tous ceux qui veulent penser la ville autrement.
Cela implique de changer de regard : lire la ville comme un système vivant et pluriel, déceler les potentiels de transformation dans l’existant, faire émerger des co-bénéfices environnementaux et sociaux. Construire des villes résilientes, ce n’est pas seulement répondre à l’urgence. C’est offrir un avenir aux générations futures. Pour y parvenir, les ingénieurs d’Egis proposent aux élus et à toutes les parties prenantes de la ville, cinq principes d’action pour un mandat dédié à l’habitabilité future des territoires .